Le 30 avril 2025, à 6h50 du matin, je me trouve sous la pergola de la Magnanerie d’Aubarine. Un chardonneret élégant chante au sommet du sapin en face de moi.


Réveillé depuis trois heures du matin, je descends au salon pour ne pas troubler le sommeil de la famille et finis par m’assoupir un instant sur le divan, recroquevillé en position fœtale.
Lors de mes errances nocturnes, j’ai entendu le rossignol philomène et le hululement d’une chouette hulotte, deux présences discrètes qui ont éveillé en moi un émerveillement doux et profond.

Il est maintenant 7h01, et Iko observe de son regard attentif les chardonnerets qui chahutent sur les branches chétives du sapin, sous le regard amusé de la fauvette à tête noire.
Derrière la brume matinale, les Cévennes se dévoilent majestueusement.
En cette première matinée de vacances, je savoure la douceur d’un quotidien suspendu, le temps d’une petite semaine.




Je partage aussi quelques clichés pris lors d’autres instants, comme ce coucher de soleil flamboyant qui embrase l’horizon.
Ces images reflètent la beauté simple et changeante de la nature qui m’entoure pendant cette parenthèse hors du temps.
Par l’intermédiaire de cette histoire et de ce messager, j’aimerais simplement t’inviter à cela :
« Prends le temps d’écouter ce qui bruisse dans le silence, car c’est là que la vie se dévoile, discrète et précieuse. »









Prends un instant pour me partager ton ressenti : qu’as-tu pensé du messager et de ta découverte ? J’ai hâte de lire ton message !
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